Automatisation : MIP Robotics reformule le robot industriel pour en faire « la troisième main » des PME
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L’industrie 4.0 est le paradigme rêvé pour l’industriel français. Mais ce dernier ne doit pas brûler les étapes, et pour ce faire, il doit placer l’opérateur au centre de ses préoccupations. En faisant un tour d’horizon des PME françaises, Gonzague Gridel, CEO de MIP Robotics, a constaté qu’elles souffraient toutes de l’absence d’automatisation. Réduire le nombre de tâches répétitives et aliénantes pour les opérateurs serait la première étape dans la quête de l’industrie 4.0.
- Tout l’enjeu réside dans l’appréhension du métier de l’opérateur : à l’heure de la transformation digitale, ce dernier ne peut plus être l’ouvrier dépeint par Charlie Chaplin dans Les Temps Modernes. Il ne doit pas non plus se sentir menacé par l’introduction des robots dans l’industrie. Ces derniers font plutôt office de « troisième main, un outil qu’il possède ».
- « Ce qui fait la force de la cobotique, c’est sa simplicité : pour transformer durablement le quotidien de l’opérateur, il faut introduire de nouveaux usages qui soient pratiques, intuitifs et peu coûteux. »
- Le cas Lydall illustre parfaitement les solutions proposées par MIB Robotics : l’automobile est un secteur qui voit intervenir la nécessité d’une cadence élevée pour la production de volumes importants. L’automatisation des process répétés a non seulement soulagé l’opérateur, mais aussi permis à l’entreprise de connaître un retour sur investissement en moins de six mois.
- Si la transformation des industries effraie tant, c’est parce qu’elle est souvent synonyme de renouvellement des machines. Or MIP Robotics entend supprimer ce frein en proposant des solutions interopérables et compatibles avec les parcs existants. « L’industrie 4.0 se définit par sa capacité à lier les outils ensemble, quels que soient leurs âges et fonctions. »