• Les clients qui sont interrogés par les marques dans le cadre d’études ou de sondages s’autocensurent. Bien que consultés, ils ne se sentent pas suffisamment à l’aise pour être totalement francs. Cette gêne n’existe pas sur les réseaux sociaux. De nouveaux insights apparaissent.
• Cette différence entre sondage et discussion pair à pair révèle un manque de confiance en la marque ; un fossé qui se creuse et que le marketing d’influence serait destiné à combler.
• Les méthodes traditionnelles seules conduisent à une caricature de l’audience qui ne participent pas à la reconnexion. L’idée sera de recréer un lien émotionnel avec la marque : créer les conditions de satisfaction qui vont induire un climat de confiance et favoriser la prise de parole de la communauté.
• Aujourd’hui, pour (re)conquérir leur audience les marques doivent afficher leurs valeurs et impliquer le client, coconstruire avec lui. La marque a un rôle de catalyseur et d’animateur de communautés. Ceci est très bien illustré par l’exemple de blablacar qui a organisé une journée de séminaire pour une vingtaine de ses contributeurs blablahelp afin qu’ils se rencontrent et rencontrent l’équipe blablacar.
• Plus la marque est proche de ses clients, plus elle peut améliorer ses services et solidifier cette relation sur le long terme.
• Johanna Bar précise qu’une campagne produite avec un influenceur est un véritable format publicitaire très efficace pour engager horizontalement l’audience mais pas durablement dans le temps. En effet, ce type de campagne n’est pas vecteur de confiance et doit donc être considéré comme un complément marketing.

Rédactrice : Marion Letorey