TECH & IT : Une source de solutions pour un monde durable
1) MEASURE : Rendre l’information consommateur plus accessible
Avec la croissance des préoccupations environnementales, les consommateurs cherchent de plus en plus à connaître l'impact environnemental de leur comportement numérique, ou l'empreinte carbone de leurs achats, l'origine etc. Pour aider les consommateurs dans cette démarche, des applications comme Yuka, Clear Fashion et Clean Beauty sont devenues très populaires. Yuka (26M d'utilisateurs) permet de scanner les produits alimentaires et cosmétiques pour en connaître la composition et les éventuels dangers pour la santé, tandis que Clear Fashion fournit des informations sur les marques textiles, leurs processus de fabrication et les matériaux utilisés pour calculer l'impact environnemental des vêtements. Clean Beauty quant à elle permet de scanner les produits de beauté pour mettre en évidence les ingrédients controversés ou potentiellement dangereux.
Du côté de l'empreinte carbone, les entreprises se mobilisent également et mettent en place des plans d'action suite à de nombreux engagements vers le Zero Carbone ou Carbon Neutrality. La technologie permet d'aider à la mesure, aux calculs, au suivi pour accompagner les entreprises dans cette transformation durable, tant numérique qu'opérationnelle.
IKEA par exemple, s'est engagé à devenir climatiquement positif d'ici 2030. Comment ? Le détaillant de meubles compte réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 50% par rapport à 2016, tout en éliminant activement le dioxyde de carbone de l'atmosphère par le reboisement et la gestion des forêts.
Un autre exemple est Google, qui est neutre en carbone depuis 2007 et vise à fonctionner avec de l'énergie sans carbone 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 d'ici 2030. Le géant de la technologie a investi dans des parcs éoliens et solaires à grande échelle pour aider à alimenter ses centres de données et ses bureaux.
Grâce à un calcul simplifié des émissions de gaz à effet de serre (GES) et à des plans d'action personnalisés, l'application Greenly permet de créer des stratégies de développement durable adaptées aux besoins spécifiques de chaque entreprise. La plateforme offre une solution numérique de bilan carbone pour les PME, ce qui permet de réduire considérablement le temps et l'énergie nécessaires pour la collecte des données. On pourrait citer de nombreuses autres solutions comme Persefoni, une plateforme de gestion et de comptabilité climatique (CMAP), Traace qui s’adresse aux secteurs B2B ou Sweep, Zei...
Cette accélération est entre autre due au Pacte vert pour l'Europe (EU Green Deal), à la loi Climat ou aux ESG, qui visent à rendre le vieux continent neutre en carbone d'ici 2050. La France, pour sa part, prévoit d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, si les objectifs de réduction des émissions, poussés par la Stratégie Nationale bas-carbone, sont atteints.
Même le secteur de la publicité fait des efforts. Au Royaume-Uni par exemple, l'Advertising Association, l'ISBA (Incorporated Society of British Advertisers) et l'IPA (Institute of Practitioners in Advertising) s’accordent les violons pour réduire les émissions de carbone des opérations publicitaires au Royaume-Uni à zéro net d'ici 2030. L’initiative a donné naissance au programme Ad Net Zero qui compte plus de 100 marques, agences, propriétaires de médias commerciaux et sociétés de production parmi ses membres. Les entreprises qui y adhèrent doivent élaborer des plans robustes et vérifiés pour réduire leurs émissions de carbone. Mais l'initiative ne s'arrête pas là. Elle s'engage également à utiliser le pouvoir de la publicité pour accélérer la transition vers des produits et services plus durables pour les consommateurs.
Avec une initiative aussi ambitieuse, l'industrie publicitaire pourrait assumer un rôle actif dans la lutte contre le changement climatique, en encourageant les entreprises à adopter des pratiques plus durables et en incitant les consommateurs à faire des choix plus écologiques.
2) RETRAIN : Acculturation des équipes et managers
De nombreuses entreprises se sont engagées à réduire leurs émissions de carbone, mais selon Brad Smith, président de Microsoft, de nombreuses entreprises manquent de travailleurs qualifiés pour atteindre ces objectifs. Le principal obstacle est le manque de talents disponibles. Les emplois verts ont augmenté à un taux annuel de 8% entre 2015 et 2021, alors que le bassin de talents n'a augmenté que de 6%.
Mais la pression est forte pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Pour y parvenir, il est crucial de former davantage de travailleurs aux compétences nécessaires pour atteindre ces objectifs ambitieux et assurer un avenir durable pour la planète.
C'est ce que nous nous efforçons de faire au sein du HUB Institute, où nous avons déployé plus de 12 modules de formations autour des sujets RSE.
La fresque du climat, a ainsi sensibilisé plus de 680.000 cadres également par le biais d'ateliers collaboratifs qui enseignent les bases scientifiques du changement climatique et éclairent la manière d'agir. Axa Climate accompagne également les entreprises à travers sa Climate School pour développer leurs compétences et engager tous les collaborateurs dans la transition durable.
Embarquer votre entreprise dans une transformation durable, c'est aussi embarquer vos clients. Comment ? EcoCart est un exemple de solution. Il s'agit d'une extension Google Chrome qui permet aux utilisateurs de compenser l'empreinte carbone de leurs achats. Quant aux marques, elles peuvent utiliser la solution pour communiquer efficacement leur engagement envers le développement durable auprès des consommateurs et les engager par le biais d'activations engageantes.
Doconomy, une société suédoise spécialisée dans l'impact technologique qui fournit des services numériques pour aider les consommateurs à réduire leur empreinte carbone. Avec cela à l'esprit, Doconomy a lancé le calculateur 2030, un outil permettant à n'importe quelle marque de calculer l'empreinte carbone de son produit, plus rapidement et aux moindres coûts.
3) REDUCE : Réduire l'énergie des pratiques informatiques
Les conséquences de la surconsommation et du gaspillage énergétique par la technologie peuvent être dramatiques pour l'environnement et la planète. Il est indispensable d'avoir une approche plus frugale et responsable. Comment développer des sites web à faible consommation d'énergie? Du code à faible impact et des designs à faibles émissions ? Sans parler d'éco-concevoir la partie hardware gourmande en matériaux et terres rares.
Organic Basics, par exemple, a fait le choux d'un site web à faible consommation d'énergie qui permet d'économiser jusqu'à 70% de données. Il utilise l'énergie éolienne d'une turbine verte et n'inclut que quelques images de produits, sans vidéos.
Volkswagen, pour sa part, a créé un site web éducatif sur l'économie carbone en utilisant du code ASCII (American Standard Code for Information Interchange, une norme informatique de codage de caractères) pour façonner les images de son nouveau SUV, au lieu d'utiliser de vraies photos.
Smart & Connective, une solution IoT mondiale pour le secteur du BTP, aide à transformer les bâtiments tertiaires en bâtiments connectés et intelligents pour une gestion énergétique optimisée.
En termes de réduction de l'empreinte carbone, il y a 2 approches : la compensation et la réduction.
On peut compenser l'empreinte carbone en plantant des arbres ou en achetant des crédits carbone. Carbon Click est une entreprise qui propose des projets de compensation carbone de haute qualité pour les entreprises et les particuliers, en leur offrant des outils et des ressources pour calculer, réduire et compenser leur empreinte carbone.
Quant à la réduction de l'empreinte carbone, elle peut passer par l'extraction du dioxyde de carbone présent dans l'atmosphère. Equinor, un pétrolier norvégien, a mis en place un système de séparation des gaz qui permet de réinjecter le CO2 dans un aquifère salin situé sous la mer du Nord. Cependant, faute de soutien public et d'incitation économique, cette opération n'a été renouvelée qu'une seule fois. L'ONG Project Vesta, une start-up américaine veut répandre de l'olivine sur les plages afin de capturer et stocker le CO2 dans l’océan.
Les entreprises peuvent également optimiser leurs livraisons et leurs opérations grâce à la technologie pour réduire leur empreinte carbone. Amazon, par exemple, a annoncé la création du Climate Pledge Fund, un programme d'investissement de 2 milliards de dollars pour investir dans des entreprises visionnaires qui facilitent la transition vers une économie à faible émission de carbone. Dans le cadre de ce programme, Amazon a déjà commandé 100.000 nouveaux véhicules de livraison électriques et plus de 50 installations dans le monde sont alimentées par des toits solaires.
Apple se mobilise également. Le groupe s'est engagé à rendre tous ses produits neutres en carbone d'ici 2030 en suivant une feuille de route en quatre étapes. Cela comprend la production, le recyclage, l'efficacité et la réutilisabilité à travers :
- le développement d'un processus de production d'aluminium neutre en carbone
- l’utilisation de matériaux recyclés pour les produits
- le recours à des sources d'énergie renouvelable pour la production.
- l’investissement dans l'efficacité énergétique pour ses fournisseurs.
Ces exemples d'engagement en faveur de la durabilité ne sont ni parfaits, ni suffisants, mais comme tout effort le plus dur est d'amorcer le mouvement et d'agir concrètement au-delà des grandes promesses !
4) REFUSE : Refuser les matériaux et services toxiques ou polluants
Dans le monde actuel de la technologie en constante évolution, il est essentiel de considérer l'impact environnemental des produits et services que nous utilisons.
Samsung, s'engage ainsi à n'utiliser que des matériaux recyclés dans tous les produits mobiles et les appareils électroménagers d'ici 2025, ainsi qu'en proposant des emballages écologiques et des programmes d'économie d'énergie. On ajoutera à cela une action simple : remplacer les piles dans toutes ses télécommandes par un capteur solaire. Une approche que propose la startup Nowi aux constructeurs de produits électroniques.
Plus encore, il existe des alternatives plus écologiques comme les voitures électriques comme Tesla ou l'ID5 de Volkswagen et les étuis fabriqués à partir de matériaux durables à base de plantes comme l'Organicore, un matériau 100% compostable comme on le voit dans la valise Incipio.
Avec ces options parmi tant d’autres, il est possible de remplacer les matériaux toxiques et nocifs dans l'industrie technologique, ouvrant la voie à un avenir plus durable.
5) RETHINK : Repenser l'ensemble de la chaîne de valeur et des processus
Comme le montre cette approche de Kering, il ne s'agit pas d'empiler les actions tactiques mais de ré-examiner et revoir sa chaîne de production complète pour adopter une éco-conception systématique !
Il ne faut pas hésiter à challenger nos habitudes, nos façons de faire comme par exemple Impossible Food qui a réinventer avec grand succès le Burger en mode végétarien
Au niveau des territoires et des villes, il est temps aussi de revoir nos façons de faire.
Des smart cities propres, attractives et durables grâce à l’IA, c’est la promesse de Cortexia qui utilise l'AIoT (technologie qui associe l’internet des objets et l’IA) pour collecter des données en temps réel sur la propreté urbaine et aider les villes à gérer les ressources pour un niveau des résultats de propreté et de durabilité maîtrisés et inégalés. Enerbrain collecte des données via l'IoT pour aider les entreprises à gérer de manière intelligente leur consommation d'énergie des systèmes de chauffage, ventilation et climatisation (HVAC),
C’est aussi XXII SMARTCITY qui prévoit des villes plus durables grâce à l'intelligence artificielle : “Aujourd’hui notre système et nos villes sont assez figées, alors que demain tout ça peut devenir beaucoup plus léger et intelligent, si tout est détecté et organisé de manière intelligente”, rassure mon ami William Eldin, CEO de XXII.
Vianova utilise les données des véhicules connectés pour aider les villes à construire des systèmes de transport plus efficaces et durables.
La réutilisation de la chaleur produite par les centres de données est une voie prometteuse pour réduire l'impact environnemental de la technologie. Bien que ce ne soit pas une tâche facile, plusieurs initiatives ont montré qu'il est possible de récupérer la chaleur des centres de données et de l'utiliser de manière plus efficace et durable. Par exemple, AWS participe à un programme de chauffage communautaire à Dublin, où la chaleur produite par le centre de données est récupérée et utilisée pour chauffer les bâtiments avoisinants. Dans le même esprit, un opérateur de centre de données à Stockholm a pour objectif de chauffer 10% de la ville avec sa chaleur d'ici 2035.
D'autres entreprises ont également adopté des approches innovantes en matière de réutilisation, telles que Connected Energy, qui utilise des batteries de véhicules électriques en seconde vie pour créer un système de stockage d'énergie. BatX Energies recycle les batteries lithium-ion usagées pour extraire des matériaux rares tels que le lithium, le nickel et le cobalt.
6) REPAIR : Refuser l'obsolescence programmée de nombreux produits
La réparation d'appareils électroniques est complexe et coûteuse, et seulement 40% des Français ont effectué une réparation en 2020. Pour aider les consommateurs, le gouvernement a lancé l'Indice de réparabilité en janvier 2021, qui oblige l'affichage de l'indice de réparabilité sur cinq catégories de produits électroniques et électroménagers.
Bien qu’en 2022 Apple se soit prêtée au jeu, en lançant Self Service Repair, (avec un service de réparation libre-service dans huit pays européens, fournissant des manuels de réparation, des pièces détachées et des outils Apple authentiques), la société aurait été accusée d'obsolescence programmée de ses iPhone et a accepté de payer 3,4 millions de dollars pour régler un procès au Chili.
Au contraire, SEB s'est engagé depuis 2016 à la réparabilité de ses produits! "Chaque produit réparé c'est une vente qui ne va pas chez nos concurrents", confesse Alain Pautrot, le directeur de la satisfaction client et de l'après-vente du groupe. En 2020, SEB va plus loin et lance des réparations à prix fixe quelle que soit la panne. Comptez près de 19 euros pour une cafetière et 55 euros pour un aspirateur. La marque explique qu’il s’agit d’une stratégie gagnante sur le long terme, basée sur la satisfaction du consommateur.
7) REGIFT : La seconde main & le re-commerce
Dans le monde de la fast fashion, les tendances évoluent rapidement et les consommateurs sont de plus en plus conscients de leur impact environnemental. Dans ce contexte, le marché de la seconde main connaît une croissance fulgurante. Le Re-commerce qui englobe la seconde main, la location ou l'abonnement s'impose comme jamais ces derniers mois !
Patagonia a été une des premières marques à proposer une marketplace de produits de seconde main et ce depuis des années!
Selon les prévisions, le marché de la seconde main devrait être multiplié par cinq dans les cinq prochaines années, tandis que le marché traditionnel de la vente au détail devrait se réduire considérablement.
Les détaillants n'ont plus le choix : ils doivent s'adapter aux nouvelles tendances et intégrer le marché de la seconde main s'ils veulent rester compétitifs. Vinted et ses 245 Millions d'€ de CA n'est plus la seule star de l'industrie. D'autres startups, entreprises et marques adoptent de plus en plus ce modèle dans leurs offres.
Les consommateurs sont de plus en plus nombreux à chercher des alternatives durables et à acheter des vêtements de seconde main, ce qui peut représenter une opportunité pour les marques qui sauront s'adapter à cette nouvelle réalité. Les retailers qui ne prendront pas en compte cette tendance risquent de perdre des parts de marché face à leurs concurrents plus innovants.
La startup Lizee est une solution SaaS qui fournit aux marques et aux détaillants une place de marché intégrée d'économie circulaire. La plateforme de seconde vie unique sur le marché, répond aux nouveaux enjeux business et aux attentes des consommateurs :
Relation client, abonnements, cartes cadeaux et points de fidélité et calcul de l'empreinte carbone. Tout comme Recurate, qui d'autre part est un partenaire de re-commerce à service complet qui permet un marché P2P pour les produits d'occasion directement sur les canaux de commerce électronique des marques.
La mode est un secteur qui a un impact considérable sur l'environnement. Saviez-vous que 85% des vêtements finissent dans des décharges ou sont incinérés (Global Fashion Agenda) ? Une des meilleures choses que nous pouvons faire pour la planète est de garder les choses en usage plus longtemps et de réduire notre consommation globale. Cela signifie acheter moins, réparer plus et échanger des équipements lorsque nous n'en avons plus besoin.
Decathlon, pour sa part, a lancé un nouveau service de location en Belgique : 5€/mois pour accéder à 40 000 articles. Vous pouvez ainsi louer un vélo puis un sac à dos ou un kayak... Pourquoi acheter quand vous pouvez louer ?
8) REFILL : Recharger et récupérer
La tendance de l'emballage rechargeable (ou "refillable packaging") permet aux utilisateurs de continuer à utiliser un produit en remplaçant son contenu épuisé dans son emballage d'origine. Cette option est très pratique et permet de réduire les déchets ainsi que l'énergie nécessaire pour fabriquer de nouveaux emballages, limitant ainsi l'impact négatif sur l'environnement.
Selon une analyse du cycle de vie (ACV) dans un rapport pour la Fondation Ellen MacArthur, acheter une recharge plutôt qu'un nouveau produit peut économiser jusqu'à 70% de CO2, 65% d'énergie et 45% d'utilisation d'eau. On pourra citer la Life Plankton Elixir Blue Fountain de recharge de Biotherm, qui teste aussi le vrac en Espagne.
Clarins s'est lancé dans cette tendance en décembre 2020 et a mis en place un "Eco Bar" en magasin pour deux de ses produits emblématiques : l'huile tonifiante et le parfum rafraîchissant. Les consommateurs peuvent rapporter leur bouteille vide pour un nettoyage et une réutilisation. Ce nouveau système permet de réduire les déchets tout en offrant une alternative pratique et respectueuse de l'environnement.
9) RECYCLE & upcycle
Avec l'économie circulaire, les entreprises ont la possibilité de créer des stratégies qui augmentent à la fois leurs profits et garantissent un avenir durable. Cette approche vertueuse permet de maintenir les matériaux en circulation, de restaurer notre environnement naturel et de relever les défis environnementaux majeurs tels que le changement climatique, la perte de la biodiversité et la pollution.
Mais pour prendre les bonnes décisions stratégiques, les entreprises ont besoin de données. C'est là que Circulytics intervient, l'outil innovant développé par la Fondation Ellen MacArthur pour évaluer les pratiques et les résultats de l'économie circulaire. Il permet de mesurer la circularité de toute entreprise en utilisant le plus large ensemble d'indicateurs d'économie circulaire disponibles aujourd'hui. Circulytics évalue les entreprises sur des domaines tels que la stratégie, l'innovation et les flux de matériaux, et fournit des analyses et des perspectives de pointe de la part de la Fondation.
Les marques de luxe adoptent de plus en plus les méthodes de recyclage, comme en témoigne la dernière initiative d'HERMÈS. La maison de mode iconique a récemment lancé une nouvelle collection d'accessoires et de décorations appelée "petit h", qui est entièrement fabriquée à partir de matériaux restants des ateliers de la marque. En adoptant le recyclage, HERMÈS prend un pas vers la durabilité et la responsabilité environnementale, tout en mettant en avant son engagement en faveur de l'artisanat et de la créativité.
Il en va de même pour les produits électroniques. Au cœur de notre monde actuel, ils nous permettent de rester connectés et d'en faire toujours plus chaque jour. Cependant, leur utilisation excessive a également des conséquences sur l'environnement. C'est dans ce contexte que Circular Electronics Partnership a vu le jour, un partenariat qui réunit des leaders de la technologie, des biens de consommation et de la gestion des déchets pour identifier comment faire mieux.
Bref vous l'aurez compris, si la tech est un défi environmental, c'est aussi une source considerable de solutions pour accélérer la transition durable!
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